Voici le vingt-et-unième (21) album ‘solo’ du DR.SPACE aka le britannique Scott HELLER. Cette fois c’est sous le nom QUASARS OF DESTINY qu’il nous présente cet album instrumental au son typiquement Space Rock mais saupoudré de guitare psyché des années ’60 et d’une aura parfois pas mal FLOYDienne.
L’album de trois pièces couvrant un peu plus de quarante-trois (43) minutes nous montre le résultat d’une visite de cinq jours de son cousin Craig WALL chez lui. HELLER et WALL avaient déjà discuté de la possibilité de faire de la musique ensemble. Le résultat est une musique un peu plus variée et colorée qu’à l’habitude sur ses autres albums. Les pièces vous ramènent au début des années ’70 lorsque PINK FLOYD explorait sur ses albums le côté psychédélique de la musique. Étonnamment, j’ai aussi trouvé des ressemblances avec quelques ‘vieilleries’ de PORCUPINE TREE alors que Steven WILSON était seul à bord de son projet. La dernière pièce (“Colossus Seeks A New Planet”) a un petit côté Space-Funk.
On ne voit pas passer le temps lors de l’écoute de cet album, ce qui est prouve que DR. SPACE a bien réussi ses montages! À écouter!
Voici le vingt-et-unième (21) album ‘solo’ du DR.SPACE aka le britannique Scott HELLER. Cette fois c’est sous le nom QUASARS OF DESTINY qu’il nous présente cet album instrumental au son typiquement Space Rock mais saupoudré de guitare psyché des années ’60 et d’une aura parfois pas mal FLOYDienne.
L’album de trois pièces couvrant un peu plus de quarante-trois (43) minutes nous montre le résultat d’une visite de cinq jours de son cousin Craig WALL chez lui. HELLER et WALL avaient déjà discuté de la possibilité de faire de la musique ensemble. Le résultat est une musique un peu plus variée et colorée qu’à l’habitude sur ses autres albums. Les pièces vous ramènent au début des années ’70 lorsque PINK FLOYD explorait sur ses albums le côté psychédélique de la musique. Étonnamment, j’ai aussi trouvé des ressemblances avec quelques ‘vieilleries’ de PORCUPINE TREE alors que Steven WILSON était seul à bord de son projet. La dernière pièce (“Colossus Seeks A New Planet”) a un petit côté Space-Funk.
On ne voit pas passer le temps lors de l’écoute de cet album, ce qui est prouve que DR. SPACE a bien réussi ses montages! À écouter!