Les Samurai of Prog (TSOP) sont toujours aussi prolifiques ! Ils me surprennent toujours autant, par la qualité et la créativité du contenu de leur musique. Il en va de même avec la pléthore d'albums en duo, impliquant le bassiste MARCO BERNARD et le batteur KIMMO PÖRSTI. Idem, lorsque MARCO BERNARD officie pour les Samurai of Prog, il le fait également en duo avec KIMMO PÖRSTI, et, s'ils sont ensemble sans être ensemble, ils sont en solo. MARCO BERNARD s'est attiré la collaboration d'une bonne vingtaine de musiciens et compositeurs, afin de donner vie à un album concept dédié au mythe de PETER PAN. “The Boy Who Wouldn't Grow Up” est le nouvel album du bassiste MARCO BERNARD. Il emmène les auditeurs dans un voyage musical à travers l'esprit de PETER PAN, l'éternel garçon qui ne grandit jamais. « The Boy Who Wouldn't Grow Up » explore les thèmes de la jeunesse, de l'espoir et de la lutte pour conserver l'innocence dans un monde qui exige la maturité. De surcroît, en s'inspirant de l'histoire de PETER PAN, le compositeur s'appuie à priori sur ses propres expériences vécues durant son enfance, à faire face aux défis de l'âge adulte. Avec des influences diverses, allant du rock progressif des années 70, au jazz/fusion, à la musique classique, au folk, « The Boy Who Wouldn't Grow Up » est un album unique qui vous transporte dans un voyage sonore à travers le temps, du passé au présent, et finalement vers un endroit où les prémices de l'espoir et des rêves n'ont jamais été abandonnés. Dans cet album conceptuel éclectique, MARCO BERNARD collabore avec une pléiade de compositeurs et de musiciens accomplis, provenant d'origines diverses dans le monde. L'habileté du jeu du bassiste et les apports des autres intervenants s'unissent pour raconter l'histoire d'une manière nouvelle et passionnante.
Dès les premières notes, j'ai été subjuguée avec ”Overture" MARCO BERNARD nous embarque durant cette odyssée sonore en variant les scénographies harmoniques par des thématiques tantôt bucoliques, symphoniques, colorées, édulcorées déci-delà avec des percussions ou des cuivres. Cela débute par un paysage sonore filmographique. Pianissimo, la guitare acoustique timidement entre en scène enjouée, colorée. Un chœur orchestral fait front, dominé par des cuivres illuminant de clarté l'annonce de notre héros du moment, en l'occurrence PETER PAN. Cette thématique sera réitérée à plusieurs reprises. La scène suivante laissera place à un thème redondant avec la flûte traversière et le violon, qui dépeignent un paysage bucolique enchanteresse, ponctué au piano par des arpèges harmonieux, aériens et énergétiques. Puis, s'évaporent peu à peu afin de laisser place au synthé annonciateur d'une ambiance atmosphérique, emboîté par la section rythmique quand survient une diversité d'ambiances sonores et multiples, voire explosives avec des frappes sèches à la batterie entrecoupées par des lignes mélodiques harmonieuses, étincelantes à la guitare volubile. S'ensuit les reprises des thèmes au piano, à la flûte traversière, au violon, puis celles des cuivres.
Après « Ouverture » , « Nevers Nevers Land » emmène notre héros vers d'autres horizons plus sereins, moins scénographiques où se juxtaposent divers styles musicaux, à travers lesquels l'ouïe sera transportée vers des ambiances tantôt aériennes, puis lumineuses pour finir colorées. Un paysage multicolore, entre folk et classique, comme ces passages thématiques dans un dialogue onirique à la flûte traversière et au violon. Je l'imagine bien, cette image d'un PETER PAN rêveur. On la retrouve aussi dans l'intro, interprétée cette fois, à la guitare acoustique, au piano et à la flûte. Quant au côté Intrépide, je l'imagine bien aussi. Ici, il est représenté par des couleurs, des tonalités, vivantes, des harmonies fluctuantes, électriques. Avec les frappes sèches à la batterie, le ronflement de la basse, la guitare bavarde, les claviers bien tempérés nous embarquent dans du prog rock bigarré aux frontières de la fusion. A cela, vient s'ajouter la voix suave, où la tessiture se rapproche de celle de PETER GABRIEL.
Avec « The Lost Boys » , le titre s'ouvre par un arpège fugace au piano enchaîné aussitôt en tonalité majeure haut en couleurs de la section rythmique qui progressent vers un AOR teinté entre funk et jazz. Vers la mi-morceau, période seventies, avec un prog proche de celui de GENESIS porté par les voix masculines à la tessiture proche dudit groupe. Puis démarre une période jazz illustrée au piano sur une longue mélodie rythmée, colorée, pour un final filmographique qui nous emmène à "The Home Under The Ground". Voilà à nouveau un morceau à multiples facettes, puisqu'il reprend comme de bien entendu, le thème du concept album de PETER PAN. Il n'en n'est pas pour autant de négliger une empreinte musicale propre au duo MARCO BERNARD et KIMMO PÖRSTI malgré que ce dernier n'apparaît que comme collaborateur. C'est ainsi, que l'on retrouve ce tourbillon incessant de styles musicaux, identités
Les Samurai of Prog (TSOP) sont toujours aussi prolifiques ! Ils me surprennent toujours autant, par la qualité et la créativité du contenu de leur musique. Il en va de même avec la pléthore d'albums en duo, impliquant le bassiste MARCO BERNARD et le batteur KIMMO PÖRSTI. Idem, lorsque MARCO BERNARD officie pour les Samurai of Prog, il le fait également en duo avec KIMMO PÖRSTI, et, s'ils sont ensemble sans être ensemble, ils sont en solo. MARCO BERNARD s'est attiré la collaboration d'une bonne vingtaine de musiciens et compositeurs, afin de donner vie à un album concept dédié au mythe de PETER PAN. “The Boy Who Wouldn't Grow Up” est le nouvel album du bassiste MARCO BERNARD. Il emmène les auditeurs dans un voyage musical à travers l'esprit de PETER PAN, l'éternel garçon qui ne grandit jamais. « The Boy Who Wouldn't Grow Up » explore les thèmes de la jeunesse, de l'espoir et de la lutte pour conserver l'innocence dans un monde qui exige la maturité. De surcroît, en s'inspirant de l'histoire de PETER PAN, le compositeur s'appuie à priori sur ses propres expériences vécues durant son enfance, à faire face aux défis de l'âge adulte. Avec des influences diverses, allant du rock progressif des années 70, au jazz/fusion, à la musique classique, au folk, « The Boy Who Wouldn't Grow Up » est un album unique qui vous transporte dans un voyage sonore à travers le temps, du passé au présent, et finalement vers un endroit où les prémices de l'espoir et des rêves n'ont jamais été abandonnés. Dans cet album conceptuel éclectique, MARCO BERNARD collabore avec une pléiade de compositeurs et de musiciens accomplis, provenant d'origines diverses dans le monde. L'habileté du jeu du bassiste et les apports des autres intervenants s'unissent pour raconter l'histoire d'une manière nouvelle et passionnante.
Dès les premières notes, j'ai été subjuguée avec ”Overture" MARCO BERNARD nous embarque durant cette odyssée sonore en variant les scénographies harmoniques par des thématiques tantôt bucoliques, symphoniques, colorées, édulcorées déci-delà avec des percussions ou des cuivres. Cela débute par un paysage sonore filmographique. Pianissimo, la guitare acoustique timidement entre en scène enjouée, colorée. Un chœur orchestral fait front, dominé par des cuivres illuminant de clarté l'annonce de notre héros du moment, en l'occurrence PETER PAN. Cette thématique sera réitérée à plusieurs reprises. La scène suivante laissera place à un thème redondant avec la flûte traversière et le violon, qui dépeignent un paysage bucolique enchanteresse, ponctué au piano par des arpèges harmonieux, aériens et énergétiques. Puis, s'évaporent peu à peu afin de laisser place au synthé annonciateur d'une ambiance atmosphérique, emboîté par la section rythmique quand survient une diversité d'ambiances sonores et multiples, voire explosives avec des frappes sèches à la batterie entrecoupées par des lignes mélodiques harmonieuses, étincelantes à la guitare volubile. S'ensuit les reprises des thèmes au piano, à la flûte traversière, au violon, puis celles des cuivres.
Après « Ouverture » , « Nevers Nevers Land » emmène notre héros vers d'autres horizons plus sereins, moins scénographiques où se juxtaposent divers styles musicaux, à travers lesquels l'ouïe sera transportée vers des ambiances tantôt aériennes, puis lumineuses pour finir colorées. Un paysage multicolore, entre folk et classique, comme ces passages thématiques dans un dialogue onirique à la flûte traversière et au violon. Je l'imagine bien, cette image d'un PETER PAN rêveur. On la retrouve aussi dans l'intro, interprétée cette fois, à la guitare acoustique, au piano et à la flûte. Quant au côté Intrépide, je l'imagine bien aussi. Ici, il est représenté par des couleurs, des tonalités, vivantes, des harmonies fluctuantes, électriques. Avec les frappes sèches à la batterie, le ronflement de la basse, la guitare bavarde, les claviers bien tempérés nous embarquent dans du prog rock bigarré aux frontières de la fusion. A cela, vient s'ajouter la voix suave, où la tessiture se rapproche de celle de PETER GABRIEL.
Avec « The Lost Boys » , le titre s'ouvre par un arpège fugace au piano enchaîné aussitôt en tonalité majeure haut en couleurs de la section rythmique qui progressent vers un AOR teinté entre funk et jazz. Vers la mi-morceau, période seventies, avec un prog proche de celui de GENESIS porté par les voix masculines à la tessiture proche dudit groupe. Puis démarre une période jazz illustrée au piano sur une longue mélodie rythmée, colorée, pour un final filmographique qui nous emmène à "The Home Under The Ground". Voilà à nouveau un morceau à multiples facettes, puisqu'il reprend comme de bien entendu, le thème du concept album de PETER PAN. Il n'en n'est pas pour autant de négliger une empreinte musicale propre au duo MARCO BERNARD et KIMMO PÖRSTI malgré que ce dernier n'apparaît que comme collaborateur. C'est ainsi, que l'on retrouve ce tourbillon incessant de styles musicaux, identités