KARITI est le groupe de dark ambient sortant son second album; je lis pour fans de NICO, PORTISHEAD, Steve von TILL, moi je dirais pour personnes qui souhaitent descendre très bas pour mieux remonter; du néo-folk-dark-atmosphérique, solennel et électronique; une voix prenante et des sons forts, une instrumentation simple, austère prête à plonger dans les méandres de notre cerveau; idéale pour sentir la Nature, pour explorer nos pensées mortifères et en dégager d’autres plus sereines, allez on se lance.
« As Within » intro en russe, phrasé sur un bruit sombre amenant « A Mare Called Night » où l’ambiance sera sombre, solennelle; voix sur des sonorités ultrabasse, air des DEAD CAN DANCE période primaire; son de la BOF ‘Silent Hill’, cinématique. « Son » réverbérant, slide guitare, sur la BOF ‘Paris, Texas’ lors de l’errance du héros en plein désert; la seconde partie purement instrumentale avec guitare vibrante d’extase, idéale pour nettoyer ses oreilles. « Vilomah (feat. Dorthia Cottrell) » pour la sérénade mélancolique rayonnant d’une beauté glaciale; un son me rappelant KWOON, beau et lugubre; morceau lent pour un duo attachant, solennel, sombre dans lequel tout effet cathartique serait absolument fait exprès; « Reckoning » arpège piano linéaire, monolithique, un violon au loin et Kariti qui égrène des mots pétales dans une lente agonie verbale.
« Metastasis » comme ‘Son’ réverbérant, dark ambiant; la voix chantée puis phrasée amène plus de fonds musical lugubre. « Sanctuary » déclinaison piano similaire avec la voix et le piano qui part tout seul en fin de morceau. « River of Red » titre qui joue sur la guitare vibrante un temps avant de voir le ton monter au point de flirter avec le dark métal; titre plus énergique qui réveille des morts. « Emerald Death » comme danse folklorique des morts, des revenants, un titre redondant jouant une fois de plus sur l’atmosphère envahissante noire et collante; titre monolithique, qui va et vient, qui part et revient, qui se désolidarise du temps; le phrasé devient une complainte. « Toll » oui les cloches pour annoncer la fin de la Messe liturgique ou pas et lancer « So Without » annonçant ladite messe incantatoire; un chant sur une sonorité à la KARITI, vibrante, venant des profondeurs comme le son de LUSTMORD.
KARITI a essayé de transmettre par sons ce qu’elle ressent; l’ambiance sombre dégagée est fait exprès et honore la déesse de la Terre Mère; l’atmosphère mélancolique est voulue pour renaître tel un Phénix des tourments de la Vie; Kariti c’est pleurer les morts en traduction; c’est créer un autre monde, c’est partir à la recherche de son paysage onirique pour se poser, contempler, prier et méditer; un son fait pour s’évader du monde ambiant, oui avec un A ici, pour reposer son âme.
KARITI est le groupe de dark ambient sortant son second album; je lis pour fans de NICO, PORTISHEAD, Steve von TILL, moi je dirais pour personnes qui souhaitent descendre très bas pour mieux remonter; du néo-folk-dark-atmosphérique, solennel et électronique; une voix prenante et des sons forts, une instrumentation simple, austère prête à plonger dans les méandres de notre cerveau; idéale pour sentir la Nature, pour explorer nos pensées mortifères et en dégager d’autres plus sereines, allez on se lance.
« As Within » intro en russe, phrasé sur un bruit sombre amenant « A Mare Called Night » où l’ambiance sera sombre, solennelle; voix sur des sonorités ultrabasse, air des DEAD CAN DANCE période primaire; son de la BOF ‘Silent Hill’, cinématique. « Son » réverbérant, slide guitare, sur la BOF ‘Paris, Texas’ lors de l’errance du héros en plein désert; la seconde partie purement instrumentale avec guitare vibrante d’extase, idéale pour nettoyer ses oreilles. « Vilomah (feat. Dorthia Cottrell) » pour la sérénade mélancolique rayonnant d’une beauté glaciale; un son me rappelant KWOON, beau et lugubre; morceau lent pour un duo attachant, solennel, sombre dans lequel tout effet cathartique serait absolument fait exprès; « Reckoning » arpège piano linéaire, monolithique, un violon au loin et Kariti qui égrène des mots pétales dans une lente agonie verbale.
« Metastasis » comme ‘Son’ réverbérant, dark ambiant; la voix chantée puis phrasée amène plus de fonds musical lugubre. « Sanctuary » déclinaison piano similaire avec la voix et le piano qui part tout seul en fin de morceau. « River of Red » titre qui joue sur la guitare vibrante un temps avant de voir le ton monter au point de flirter avec le dark métal; titre plus énergique qui réveille des morts. « Emerald Death » comme danse folklorique des morts, des revenants, un titre redondant jouant une fois de plus sur l’atmosphère envahissante noire et collante; titre monolithique, qui va et vient, qui part et revient, qui se désolidarise du temps; le phrasé devient une complainte. « Toll » oui les cloches pour annoncer la fin de la Messe liturgique ou pas et lancer « So Without » annonçant ladite messe incantatoire; un chant sur une sonorité à la KARITI, vibrante, venant des profondeurs comme le son de LUSTMORD.
KARITI a essayé de transmettre par sons ce qu’elle ressent; l’ambiance sombre dégagée est fait exprès et honore la déesse de la Terre Mère; l’atmosphère mélancolique est voulue pour renaître tel un Phénix des tourments de la Vie; Kariti c’est pleurer les morts en traduction; c’est créer un autre monde, c’est partir à la recherche de son paysage onirique pour se poser, contempler, prier et méditer; un son fait pour s’évader du monde ambiant, oui avec un A ici, pour reposer son âme.