C’est le vingt-sixième album ‘solo’ du guitariste français Xavier BOSCHER depuis 2002, un cinquante-énième depuis 1996! La quantité exacte d’albums qu’il a fait/joué dessus est un peu dure à trouver car les projets s’accumulent à la vitesse de l’éclair pour ce musicien qui semble infatigable, que ce soit avec NEBuLEYES, TIRAO, ULTRA VIRTUAL PROG BAND, IN-VERS, MAGNIFIC SENSES, HORRESCO REFERENS, TWINS ou MISANTHROPE, ou même des participations comme artiste invité sur les créations d’autres musiciens/groupes.
Ce quatrième chapitre de son projet ‘Starseed’ nous (re) plonge dans le style ‘Guitar Hero’ Space Rock où sa musique va varier entre un son un peu lourd et menaçant et un style plus énergique et plein d’espoir. C’est un peu comme si le bien et le mal se battent dans l’espace intersidéral afin de pouvoir s’approprier les galaxies et astres qui pullulent dans ce vide.
C’est évidemment la guitare qui mène le bal sur cet album instrumental d’un peu plus de 46 minutes. J’avoue avoir accroché un peu plus sur celui-ci que le ‘Starseed’ précédent: il est un peu plus énergique et dynamique que le ‘III’. Ceux qui ont aimé les chapitres ‘Starseed’ précédents vont adorer cet album.
C’est le vingt-sixième album ‘solo’ du guitariste français Xavier BOSCHER depuis 2002, un cinquante-énième depuis 1996! La quantité exacte d’albums qu’il a fait/joué dessus est un peu dure à trouver car les projets s’accumulent à la vitesse de l’éclair pour ce musicien qui semble infatigable, que ce soit avec NEBuLEYES, TIRAO, ULTRA VIRTUAL PROG BAND, IN-VERS, MAGNIFIC SENSES, HORRESCO REFERENS, TWINS ou MISANTHROPE, ou même des participations comme artiste invité sur les créations d’autres musiciens/groupes.
Ce quatrième chapitre de son projet ‘Starseed’ nous (re) plonge dans le style ‘Guitar Hero’ Space Rock où sa musique va varier entre un son un peu lourd et menaçant et un style plus énergique et plein d’espoir. C’est un peu comme si le bien et le mal se battent dans l’espace intersidéral afin de pouvoir s’approprier les galaxies et astres qui pullulent dans ce vide.
C’est évidemment la guitare qui mène le bal sur cet album instrumental d’un peu plus de 46 minutes. J’avoue avoir accroché un peu plus sur celui-ci que le ‘Starseed’ précédent: il est un peu plus énergique et dynamique que le ‘III’. Ceux qui ont aimé les chapitres ‘Starseed’ précédents vont adorer cet album.