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PROFILPROG : Tout d’abord merci d’avoir accepté l’invitation. J’aimerais que tu débutes par une présentation personnelle, ce que tu peux dire de ton parcours musical, tu es d’où à l’origine et tu vis où maintenant ? Claude Mignon : Merci à toi pour cette invitation. Tout d’abord, je suis né à Lorient (cela présageait peut-être déjà où ma musique m’emmènerait…l’Orient). J’ai vécu toute ma jeunesse en Bretagne, dans le département du Morbihan. Actuellement j’habite sur la presqu’île de Crozon, dans le Finistère, Bretagne également. J’ai commencé la guitare à l’âge de 12 ans. J’ai créé un petit groupe qui a fait une première partie de Fabienne Thibault. C’était de la chanson française. Je l’avais appelé « In transit ». Tout d’abord parce que je n’habitais pas en Bretagne à cette époque, cela me manquait et je me considérais en « transit », et par ailleurs parce que j’aimais beaucoup un album live du groupe Saga qui s’appelle « In Transit ». Je me suis mis au piano bien plus tard. Cet instrument m’a toujours attiré. En 1999, frustré de n’avoir pas fait ce que je voulais personnellement dans la musique, j’ai décidé de me lancer pour voir de quoi j’étais capable, en composant tout moi-même mais avec peu de confiance en ce qui allait vraiment en sortir. J’ai été surpris de l’inspiration qui semblait venir naturellement et les choses se sont accélérées de manière folle. J’ai sorti un premier album en 2001 sous le nom de Seven Reizh. Album qualifié d’« ovni » à l’époque car personne ne me connaissait. J’avais déjà 40 ans et je pense que j’avais accumulé inconsciemment, écoutant énormément de musique, beaucoup d’influences qui étaient déjà bien digérées. Le disque s’est très bien vendu. J‘ai alors fait, avec le groupe constitué, un concert dès 2002. Cela a été un peu particulier pour moi car c’était à un festival sur deux jours où je partageais la scène notamment avec Pendragon (groupe britannique que j’aimais depuis longtemps) et le groupe français Ange. Tous les gains du premier album ont été réinvestis dans le deuxième, « Samsâra ». À cette époque je travaillais comme éducateur spécialisé : ces deux premiers albums ont été faits pendant cette période très intense professionnellement. PP : Quelles sont tes plus grandes influences ? CM : J’ai tout d’abord été influencé par les groupes de rock progressif tels que Pink Floyd, Camel, Mike Oldfield, Genesis, Peter Gabriel, Yes et bien d’autres, puis par le revival du prog avec des groupes comme Marillion, Pendragon... Ma passion pour la musique m’a amené à m’ouvrir et découvrir également d’autres horizons, aussi bien dans le jazz comme Pat Metheny group avec Lyle Mays au clavier, le jazz-rock avec Return to Forever, mais aussi des compositeurs contemporains de musique classique comme Arvo Pärt ou Samuel Barber et son magnifique « Adagio for strings », des artistes actuels comme Ólafur Arnalds, Joep Beving, Tirill… D’autres mouvements, comme le minimalisme, m’ont intéressé : Steve Reich, Philip Glass... Bien sûr des groupes d’influence celtique m’ont également beaucoup touché comme Alan Stivell, Loreena McKennitt, Clannad, Dan Ar Braz, Didier Squiban, des groupes plus « dark » comme Dead Can Dance… et puis aussi le folk rock de Neil Young, le trip-hop de Radiohead…L’approche que j’ai de mes influences celtiques m’a également ouvert aux musiques world et, de fait, à la connaissance de tous les instruments du monde que je peux intégrer dans mes compositions. Je suis aussi depuis de nombreuses années influencées par le travail de Ryūichi Sakamoto. J’avais beaucoup aimé la musique du film « Furyo » qu’il avait composée ; cette BO m’a d’ailleurs inspiré le morceau « Le Pavillon Chinois » de l’album « La Barque Ailée ». Les compositeurs de musique de film comme Ennio Morricone, Bruno Coulais, Hans Zimmer, Armand Amar, m’intéressent beaucoup... La musique classique également avec Debussy, Ravel… Satie. PP : Comment considères-tu ton lien avec Loreena McKennitt et Peter Gabriel dans ton univers musical ? CM : Ces deux artistes font partie de mes influences musicales. J’ai tout écouté de chacun d’eux. Concernant Loreena McKennitt, j’ai composé un morceau influencé de cette artiste : il s’appelle « Qim iydi », signifiant « Viens t’asseoir » en langue kabyle. Je suis allé la voir en concert au festival de Cornouaille à Quimper en Bretagne, il y a une dizaine d’années. Je l’ai rencontrée après le concert car j’ai voulu lui offrir l’album d’où est issu ce titre, Samsâra et je lui ai expliqué qu’elle m’avait influencé. Son univers de mélange celtique et d’Orient m’a bien sûr très intéressé : cela fait partie de mon identité musicale. Concernant Peter Gabriel (que je viens de voir en concert à Bordeaux il y a deux semaines), c’est une grande histoire car bien sûr Genesis a fait partie des groupes que j’ai préférés et j’ai aimé aussi son ouverture sur le monde, sur des artistes venus de tous les pays. Et l’histoire de Seven Reizh a voulu que j’aille pré-mixer aux Real World Stu
PROFILPROG : Tout d’abord merci d’avoir accepté l’invitation. J’aimerais que tu débutes par une présentation personnelle, ce que tu peux dire de ton parcours musical, tu es d’où à l’origine et tu vis où maintenant ? Claude Mignon : Merci à toi pour cette invitation. Tout d’abord, je suis né à Lorient (cela présageait peut-être déjà où ma musique m’emmènerait…l’Orient). J’ai vécu toute ma jeunesse en Bretagne, dans le département du Morbihan. Actuellement j’habite sur la presqu’île de Crozon, dans le Finistère, Bretagne également. J’ai commencé la guitare à l’âge de 12 ans. J’ai créé un petit groupe qui a fait une première partie de Fabienne Thibault. C’était de la chanson française. Je l’avais appelé « In transit ». Tout d’abord parce que je n’habitais pas en Bretagne à cette époque, cela me manquait et je me considérais en « transit », et par ailleurs parce que j’aimais beaucoup un album live du groupe Saga qui s’appelle « In Transit ». Je me suis mis au piano bien plus tard. Cet instrument m’a toujours attiré. En 1999, frustré de n’avoir pas fait ce que je voulais personnellement dans la musique, j’ai décidé de me lancer pour voir de quoi j’étais capable, en composant tout moi-même mais avec peu de confiance en ce qui allait vraiment en sortir. J’ai été surpris de l’inspiration qui semblait venir naturellement et les choses se sont accélérées de manière folle. J’ai sorti un premier album en 2001 sous le nom de Seven Reizh. Album qualifié d’« ovni » à l’époque car personne ne me connaissait. J’avais déjà 40 ans et je pense que j’avais accumulé inconsciemment, écoutant énormément de musique, beaucoup d’influences qui étaient déjà bien digérées. Le disque s’est très bien vendu. J‘ai alors fait, avec le groupe constitué, un concert dès 2002. Cela a été un peu particulier pour moi car c’était à un festival sur deux jours où je partageais la scène notamment avec Pendragon (groupe britannique que j’aimais depuis longtemps) et le groupe français Ange. Tous les gains du premier album ont été réinvestis dans le deuxième, « Samsâra ». À cette époque je travaillais comme éducateur spécialisé : ces deux premiers albums ont été faits pendant cette période très intense professionnellement. PP : Quelles sont tes plus grandes influences ? CM : J’ai tout d’abord été influencé par les groupes de rock progressif tels que Pink Floyd, Camel, Mike Oldfield, Genesis, Peter Gabriel, Yes et bien d’autres, puis par le revival du prog avec des groupes comme Marillion, Pendragon... Ma passion pour la musique m’a amené à m’ouvrir et découvrir également d’autres horizons, aussi bien dans le jazz comme Pat Metheny group avec Lyle Mays au clavier, le jazz-rock avec Return to Forever, mais aussi des compositeurs contemporains de musique classique comme Arvo Pärt ou Samuel Barber et son magnifique « Adagio for strings », des artistes actuels comme Ólafur Arnalds, Joep Beving, Tirill… D’autres mouvements, comme le minimalisme, m’ont intéressé : Steve Reich, Philip Glass... Bien sûr des groupes d’influence celtique m’ont également beaucoup touché comme Alan Stivell, Loreena McKennitt, Clannad, Dan Ar Braz, Didier Squiban, des groupes plus « dark » comme Dead Can Dance… et puis aussi le folk rock de Neil Young, le trip-hop de Radiohead…L’approche que j’ai de mes influences celtiques m’a également ouvert aux musiques world et, de fait, à la connaissance de tous les instruments du monde que je peux intégrer dans mes compositions. Je suis aussi depuis de nombreuses années influencées par le travail de Ryūichi Sakamoto. J’avais beaucoup aimé la musique du film « Furyo » qu’il avait composée ; cette BO m’a d’ailleurs inspiré le morceau « Le Pavillon Chinois » de l’album « La Barque Ailée ». Les compositeurs de musique de film comme Ennio Morricone, Bruno Coulais, Hans Zimmer, Armand Amar, m’intéressent beaucoup... La musique classique également avec Debussy, Ravel… Satie. PP : Comment considères-tu ton lien avec Loreena McKennitt et Peter Gabriel dans ton univers musical ? CM : Ces deux artistes font partie de mes influences musicales. J’ai tout écouté de chacun d’eux. Concernant Loreena McKennitt, j’ai composé un morceau influencé de cette artiste : il s’appelle « Qim iydi », signifiant « Viens t’asseoir » en langue kabyle. Je suis allé la voir en concert au festival de Cornouaille à Quimper en Bretagne, il y a une dizaine d’années. Je l’ai rencontrée après le concert car j’ai voulu lui offrir l’album d’où est issu ce titre, Samsâra et je lui ai expliqué qu’elle m’avait influencé. Son univers de mélange celtique et d’Orient m’a bien sûr très intéressé : cela fait partie de mon identité musicale. Concernant Peter Gabriel (que je viens de voir en concert à Bordeaux il y a deux semaines), c’est une grande histoire car bien sûr Genesis a fait partie des groupes que j’ai préférés et j’ai aimé aussi son ouverture sur le monde, sur des artistes venus de tous les pays. Et l’histoire de Seven Reizh a voulu que j’aille pré-mixer aux Real World Stu
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