THE SAMURAI OF PROG naît en 2009, projet et surnom de Marco BERNARD qui a travaillé sur Colossus et Musea; sa philosophie est d’intégrer des guests musiciens en fonction des sorties d’albums; 15 dont trois par an depuis 2020, imposant. Kimmo PÖRSTI et Steve UNRUH formant l’ossature, après des reprises de MARILLION et d’autres groupes, ils se lancent dans des compositions personnelles dès 2014 pour faire de la musique de qualité et d’émotion; thèmes sur les nouvelles telles Gulliver, Robinson Crusoe ou les contes de Grimm. Ici c’est S-F composé par Marco GRIECO pour un prog symphonique estampillé 70’s.
“Anthem To The Phoenix Star” sur le voyage avec les contraintes du temps et de l’espace comme préambule, un son à la PINK FLOYD pour la basse, le saxo de Marek et la guitare de Juhani, des voix-off dont celle de Clive NOLAN formant une bande son spatiale où le synthétiseur est roi et où l’univers façonné relève bien de la dystopie; le solo guitare rageant de Juhani en final. “Burning Silence’’ continue avec la voix de Bart SCHWERTMANN de KAYAK qui me fait donc penser à JETHRO TULL; la flûte de Sara, tiens hasard? un titre entre rock convenu 70’s et envolée spatiale mélodique; la voix part sur le son Charisma, fête foraine dans le monde d’Alice; synthés en avant encore sur le Mellotron, percussions à la GENESIS, courez réécouter ‘The Knife’ pendant que la mère héroïne espère en une seconde chance; notez-le soli guitare jouissif. “Killing Hopes” continue de plonger dans le rock prog d’antan, ambiance souvenir, un peu sur les RPWL bon Yogi est là ça doit être normal, voix chaleureuse apaisante; le violon de Steve UNRUH amène le plus pour ce titre nostalgique; les instruments qui lorgnent GENESIS, un arpège de Rafael PACHA divin à la guitare et un final clavier qui va cette fois sur les rives du grand YES; émotion régressive garantie. “Bones” arrive avec le titre folk prog, Olivia des MOSTLY AUTUMN en est l’attraction; un melting pot où la beauté de la voix vient s’enchevêtrer sur les instruments tirant sur des contrées progressistes, Rafael ici aux uilleann pipes, Olivia aux chœurs puis la partie synthé qui montre que TSOP est avant tout un son d’orgues avec Marco.
“Don’t Be Afraid” intro génésisienne je vous laisse deviner; John WILKINSON de Dr. FEELGOOD tire sa voix sur FISH un instant, l’orgue chaleureux néo-prog à la MARILLION, la flûte de Sara en break GENESIS 1ére mouture; ça repart sur un gig irlandais puis un solo de Marcel SINGOR d’AYREON et KAYAK pour situer le pedigree, arpège piano et final avec crescendo logique avant un second solo guitare plus torturé; titre implacable. “Wings” pour rappeler que cet album à Marco en grand-guest; un grand piano pour le sacrifice d’une vie à sauvegarder l’humanité, il fallait bien ça en montrant sa maîtrise dans un a capela pianistique étonnant rempli d’espoir et de beauté. “Behind The Curtain” en 9 mouvements; l’orgue cathédrale en intro amène un riff prog métal avant de laisser Clive à la voix, oui; Marco et Kimmo se chargent d’imprimer un air grandiloquent, on ne revient pas de l’espace-temps et d’Ankaa sans conséquence; c’est estampillé prog de A à Z avec les soli, les breaks et ça ressemble à TSOP: bigarré, chaleureux, complexe et associant tous les instruments pour en sortir un air ‘’substantifiquement’’ musical avec Cam BLOKLAND des SOUTHERN EMPIRE en guitare héro.
THE SAMURAI OF PROG peut se permettre de sortir autant d’albums en si peu de temps vu le nombre de guests; une comédie musicale prog qui fleure bon les 70’s mais pas en tant que son régressif; ici c’est transformation, ingestion et digestion des airs d’antan pour sortir des mélodies douces, chaleureuses, remplies d’espoir. Je craignais un melting-pot musical consensuel, je me suis retrouvé avec un album amenant le son prog rock à son firmament, permettant de réviser ses gammes des sons d’avant tout en vivant bien en 2022. Pas de nouveauté dans le genre mais une magnificence assurée.
THE SAMURAI OF PROG naît en 2009, projet et surnom de Marco BERNARD qui a travaillé sur Colossus et Musea; sa philosophie est d’intégrer des guests musiciens en fonction des sorties d’albums; 15 dont trois par an depuis 2020, imposant. Kimmo PÖRSTI et Steve UNRUH formant l’ossature, après des reprises de MARILLION et d’autres groupes, ils se lancent dans des compositions personnelles dès 2014 pour faire de la musique de qualité et d’émotion; thèmes sur les nouvelles telles Gulliver, Robinson Crusoe ou les contes de Grimm. Ici c’est S-F composé par Marco GRIECO pour un prog symphonique estampillé 70’s.
“Anthem To The Phoenix Star” sur le voyage avec les contraintes du temps et de l’espace comme préambule, un son à la PINK FLOYD pour la basse, le saxo de Marek et la guitare de Juhani, des voix-off dont celle de Clive NOLAN formant une bande son spatiale où le synthétiseur est roi et où l’univers façonné relève bien de la dystopie; le solo guitare rageant de Juhani en final. “Burning Silence’’ continue avec la voix de Bart SCHWERTMANN de KAYAK qui me fait donc penser à JETHRO TULL; la flûte de Sara, tiens hasard? un titre entre rock convenu 70’s et envolée spatiale mélodique; la voix part sur le son Charisma, fête foraine dans le monde d’Alice; synthés en avant encore sur le Mellotron, percussions à la GENESIS, courez réécouter ‘The Knife’ pendant que la mère héroïne espère en une seconde chance; notez-le soli guitare jouissif. “Killing Hopes” continue de plonger dans le rock prog d’antan, ambiance souvenir, un peu sur les RPWL bon Yogi est là ça doit être normal, voix chaleureuse apaisante; le violon de Steve UNRUH amène le plus pour ce titre nostalgique; les instruments qui lorgnent GENESIS, un arpège de Rafael PACHA divin à la guitare et un final clavier qui va cette fois sur les rives du grand YES; émotion régressive garantie. “Bones” arrive avec le titre folk prog, Olivia des MOSTLY AUTUMN en est l’attraction; un melting pot où la beauté de la voix vient s’enchevêtrer sur les instruments tirant sur des contrées progressistes, Rafael ici aux uilleann pipes, Olivia aux chœurs puis la partie synthé qui montre que TSOP est avant tout un son d’orgues avec Marco.
“Don’t Be Afraid” intro génésisienne je vous laisse deviner; John WILKINSON de Dr. FEELGOOD tire sa voix sur FISH un instant, l’orgue chaleureux néo-prog à la MARILLION, la flûte de Sara en break GENESIS 1ére mouture; ça repart sur un gig irlandais puis un solo de Marcel SINGOR d’AYREON et KAYAK pour situer le pedigree, arpège piano et final avec crescendo logique avant un second solo guitare plus torturé; titre implacable. “Wings” pour rappeler que cet album à Marco en grand-guest; un grand piano pour le sacrifice d’une vie à sauvegarder l’humanité, il fallait bien ça en montrant sa maîtrise dans un a capela pianistique étonnant rempli d’espoir et de beauté. “Behind The Curtain” en 9 mouvements; l’orgue cathédrale en intro amène un riff prog métal avant de laisser Clive à la voix, oui; Marco et Kimmo se chargent d’imprimer un air grandiloquent, on ne revient pas de l’espace-temps et d’Ankaa sans conséquence; c’est estampillé prog de A à Z avec les soli, les breaks et ça ressemble à TSOP: bigarré, chaleureux, complexe et associant tous les instruments pour en sortir un air ‘’substantifiquement’’ musical avec Cam BLOKLAND des SOUTHERN EMPIRE en guitare héro.
THE SAMURAI OF PROG peut se permettre de sortir autant d’albums en si peu de temps vu le nombre de guests; une comédie musicale prog qui fleure bon les 70’s mais pas en tant que son régressif; ici c’est transformation, ingestion et digestion des airs d’antan pour sortir des mélodies douces, chaleureuses, remplies d’espoir. Je craignais un melting-pot musical consensuel, je me suis retrouvé avec un album amenant le son prog rock à son firmament, permettant de réviser ses gammes des sons d’avant tout en vivant bien en 2022. Pas de nouveauté dans le genre mais une magnificence assurée.