Pas de mensonges s'il vous plait ; qui se souvient d'un groupe britannique de néo progressif TRISTAN PARK auteur de trois albums au milieu des années quatre-vingt-dix ? Pas votre serviteur en toute humilité. Pourquoi cette question ? Simplement parce que l'un des coleaders de ROCKING HORSE MUSIC CLUB, le multi instrumentiste et chanteur Brian COOMBES faisait partie à l'époque de TRISTAN PARK.
Fin de l'épisode historique revenons à notre ROCKING HORSE MUSIC CLUB qui nous propose ici son troisième album après,"Every Change of Seasons" en 2018 et un album hommage au guitariste originel de GENESIS, Anthony PHILLIPS, "Which Way the Wind Blows" en 2019 brillamment commenté dans ces pages par mon confrère Mario CHAMPAGNE, chronique que je vous invite bien évidemment à relire, cette seconde parution donnant lieu à deux spectacles à guichets fermés au Trading Boundaries de l'EAST SUSSEX sud de LONDRES au bord de la mer MANCHE.
L'histoire de l'album qui soit en passant n'est pas référencé progressif (!!!!!) est celle d'un homme qui crée un cirque miniature avec du fil de fer, de la ficelle et du tissu selon les explications données par Brian COOMBES lui-même, un homme qui fait un bilan de sa vie personnelle comme professionnelle, avec ses succès, ses échecs et également quelques regrets. Le thème du disque est inspiré par le romancier Thomas WOLFE et son personnage le sculpteur Alexander CALDER qui dans les années 1920/1930 était connu dans les milieux artistiques pour présenter son cirque de poupées en fil de fer à travers l'EUROPE et les ÉTATS UNIS d'où évidemment le titre de l'œuvre " Circus of Wire Dolls".
Il m'arrive fréquemment de détailler les disques titre par titre mais dans le cas présent, ce fut quasiment impossible car l'album est double et comporte vingt-deux titres pour quatre-vingt-seize minutes. Nous allons donc prendre les pièces dans l'ordre, sachant comme toujours que mon choix est purement subjectif. Je n'ai pas aimé les titres quatre "Senseless Sky" big bang jazz un peu bazar, douze "Cut from a Different Cloth" avec les ex SQUEEZE (comme quoi la renommée n'est pas forcément un gage de satisfaction auditive...), sept malgré la délicieuse Caroline CARTER aux vocaux, dix-sept trop bazar comme le quatrième.
Mes préférences vont aux plages une l'introductif "Prologue Riverside" d'une inspiration floydienne avérée pour les claviers et le drumming précis et maitrisé d'Eric WAGLEY, deux l'éponyme "Circus of Wire Dolls" la plus longue du disque, une bonne introduction pour celui qui veut se faire une idée précise de l'ambiance globale de l'album, huit "So Little Left" remarquablement chanté par Tim BOWNESS, dix "Trapeze Waltz" une valse comme son nom l'indique augmentée de la flute de John HACKETT et du délicat saxophone soprano de Rob TOWNSEND et ses volutes célestes, onze "Burn" magnifié par le chant haut en couleurs de Caroline CARTER mais qui se clôt de façon trop abrupte, quatorze "0300° qui met en valeur la harpiste Mikaela DAVIS (quel dommage que cet instrument ne soit pas plus souvent utilisé dans la musique progressive Nerissa SCHWARTZ étant la seule qui me vienne à l'esprit), dix-huit le très beatlessien "Flowers in November" avec Justin au chant, dix-neuf "Every Show Must End" le must de l'album si nous ne devions en citer qu'un (magnifique le mot est faible Noel McCALLA aux vocaux), vingt et une "Circus Waltz" gigue endiablée agrémentée du violon reconnaissable de Monsieur David CROSS et nous terminerons cet inventaire par la conclusive et un tantinet floydienne "Coda : Slide Down the Cellar Door", de fait la boucle est bouclée si vous reprenez mon commentaire sur la pièce inaugurale.
Pour tous les morceaux non cités ci-dessus, nous naviguons entre deux eaux, écoutables sans être indispensables ou sans un signe qui permette de les distinguer de la masse ou trop court comme les pistes seize et dix-sept. Dans tous les cas, quatre-vingt-seize minutes, il vous faudra de la concentration et une bonne digestion, perso je me suis fait trois tranches de trente minutes chacune environ.
Pas de mensonges s'il vous plait ; qui se souvient d'un groupe britannique de néo progressif TRISTAN PARK auteur de trois albums au milieu des années quatre-vingt-dix ? Pas votre serviteur en toute humilité. Pourquoi cette question ? Simplement parce que l'un des coleaders de ROCKING HORSE MUSIC CLUB, le multi instrumentiste et chanteur Brian COOMBES faisait partie à l'époque de TRISTAN PARK.
Fin de l'épisode historique revenons à notre ROCKING HORSE MUSIC CLUB qui nous propose ici son troisième album après,"Every Change of Seasons" en 2018 et un album hommage au guitariste originel de GENESIS, Anthony PHILLIPS, "Which Way the Wind Blows" en 2019 brillamment commenté dans ces pages par mon confrère Mario CHAMPAGNE, chronique que je vous invite bien évidemment à relire, cette seconde parution donnant lieu à deux spectacles à guichets fermés au Trading Boundaries de l'EAST SUSSEX sud de LONDRES au bord de la mer MANCHE.
L'histoire de l'album qui soit en passant n'est pas référencé progressif (!!!!!) est celle d'un homme qui crée un cirque miniature avec du fil de fer, de la ficelle et du tissu selon les explications données par Brian COOMBES lui-même, un homme qui fait un bilan de sa vie personnelle comme professionnelle, avec ses succès, ses échecs et également quelques regrets. Le thème du disque est inspiré par le romancier Thomas WOLFE et son personnage le sculpteur Alexander CALDER qui dans les années 1920/1930 était connu dans les milieux artistiques pour présenter son cirque de poupées en fil de fer à travers l'EUROPE et les ÉTATS UNIS d'où évidemment le titre de l'œuvre " Circus of Wire Dolls".
Il m'arrive fréquemment de détailler les disques titre par titre mais dans le cas présent, ce fut quasiment impossible car l'album est double et comporte vingt-deux titres pour quatre-vingt-seize minutes. Nous allons donc prendre les pièces dans l'ordre, sachant comme toujours que mon choix est purement subjectif. Je n'ai pas aimé les titres quatre "Senseless Sky" big bang jazz un peu bazar, douze "Cut from a Different Cloth" avec les ex SQUEEZE (comme quoi la renommée n'est pas forcément un gage de satisfaction auditive...), sept malgré la délicieuse Caroline CARTER aux vocaux, dix-sept trop bazar comme le quatrième.
Mes préférences vont aux plages une l'introductif "Prologue Riverside" d'une inspiration floydienne avérée pour les claviers et le drumming précis et maitrisé d'Eric WAGLEY, deux l'éponyme "Circus of Wire Dolls" la plus longue du disque, une bonne introduction pour celui qui veut se faire une idée précise de l'ambiance globale de l'album, huit "So Little Left" remarquablement chanté par Tim BOWNESS, dix "Trapeze Waltz" une valse comme son nom l'indique augmentée de la flute de John HACKETT et du délicat saxophone soprano de Rob TOWNSEND et ses volutes célestes, onze "Burn" magnifié par le chant haut en couleurs de Caroline CARTER mais qui se clôt de façon trop abrupte, quatorze "0300° qui met en valeur la harpiste Mikaela DAVIS (quel dommage que cet instrument ne soit pas plus souvent utilisé dans la musique progressive Nerissa SCHWARTZ étant la seule qui me vienne à l'esprit), dix-huit le très beatlessien "Flowers in November" avec Justin au chant, dix-neuf "Every Show Must End" le must de l'album si nous ne devions en citer qu'un (magnifique le mot est faible Noel McCALLA aux vocaux), vingt et une "Circus Waltz" gigue endiablée agrémentée du violon reconnaissable de Monsieur David CROSS et nous terminerons cet inventaire par la conclusive et un tantinet floydienne "Coda : Slide Down the Cellar Door", de fait la boucle est bouclée si vous reprenez mon commentaire sur la pièce inaugurale.
Pour tous les morceaux non cités ci-dessus, nous naviguons entre deux eaux, écoutables sans être indispensables ou sans un signe qui permette de les distinguer de la masse ou trop court comme les pistes seize et dix-sept. Dans tous les cas, quatre-vingt-seize minutes, il vous faudra de la concentration et une bonne digestion, perso je me suis fait trois tranches de trente minutes chacune environ.