GALAHAD acte douze auquel on peut ajouter le GALAHAD Acoustic Quintet et le GALAHAD Electric Company ce qui peut faire quinze. Mark SPENCER a suppléé Tim ASHTON aux quatre cordes sinon rien d'autre à signaler dans la composition de la formation du DORSET.
GALAHAD fait partie de ma quinzaine de formations progressives préférées de tous les temps si l'on prend en compte l'ensemble de leur discographie. Pourquoi mets-je en avant le groupe de cette façon ? Parce que j'ai pris un vilain coup de sabot dans le derche à l'écoute de ce ’’The Last Great Adventurer’’…leur moins bonne production depuis le lointain "Year Zero" de 2002, c'est tout dire. J’ai eu beau l'écouter une fois, deux, trois, quatre, à l'endroit, à l'envers en blind test ! Ma conclusion reste la même = décevant.
Les trois meilleures plages dans l'ordre du disque sont celle d'ouverture "Alive", la suivante en deux parties dont la première instrumentale "Omega Lights" et le court "Enclosure 1764", en étant "mainstream" nous pouvons ajouter la pièce conclusive la numéro sept "Another Life Not Lived" bien rockante et surtout remarquablement chantée par Stuart NICHOLSON ce qui donne une petite trentaine de minutes sur cinquante-cinq, un peu juste pour la satisfaction du quidam moyen surtout avec la concurrence actuelle en matière musicale (je ne citerais ici et par ordre alphabétique qu'ARENA, BEN CRAVEN, JONAS LINDBERG, RANESTRANE ou THE ROME PROJECT....)
GALAHAD a voulu faire différent avec un peu d'orientalisassions par ci ou par-là ? L'influence grandissante de Lee ABRAHAM à la six cordes (très présent voir beaucoup trop sur certaines pièces comme la pièce éponyme, "Blood, Skin and Bone" ou "Normality of Distance" ?) J'essaie de trouver une raison à ma forte déception qui s'est quelque peu atténuée au fil des écoutes en prenant les morceaux à rebrousse-poil !!!
GALAHAD acte douze auquel on peut ajouter le GALAHAD Acoustic Quintet et le GALAHAD Electric Company ce qui peut faire quinze. Mark SPENCER a suppléé Tim ASHTON aux quatre cordes sinon rien d'autre à signaler dans la composition de la formation du DORSET.
GALAHAD fait partie de ma quinzaine de formations progressives préférées de tous les temps si l'on prend en compte l'ensemble de leur discographie. Pourquoi mets-je en avant le groupe de cette façon ? Parce que j'ai pris un vilain coup de sabot dans le derche à l'écoute de ce ’’The Last Great Adventurer’’…leur moins bonne production depuis le lointain "Year Zero" de 2002, c'est tout dire. J’ai eu beau l'écouter une fois, deux, trois, quatre, à l'endroit, à l'envers en blind test ! Ma conclusion reste la même = décevant.
Les trois meilleures plages dans l'ordre du disque sont celle d'ouverture "Alive", la suivante en deux parties dont la première instrumentale "Omega Lights" et le court "Enclosure 1764", en étant "mainstream" nous pouvons ajouter la pièce conclusive la numéro sept "Another Life Not Lived" bien rockante et surtout remarquablement chantée par Stuart NICHOLSON ce qui donne une petite trentaine de minutes sur cinquante-cinq, un peu juste pour la satisfaction du quidam moyen surtout avec la concurrence actuelle en matière musicale (je ne citerais ici et par ordre alphabétique qu'ARENA, BEN CRAVEN, JONAS LINDBERG, RANESTRANE ou THE ROME PROJECT....)
GALAHAD a voulu faire différent avec un peu d'orientalisassions par ci ou par-là ? L'influence grandissante de Lee ABRAHAM à la six cordes (très présent voir beaucoup trop sur certaines pièces comme la pièce éponyme, "Blood, Skin and Bone" ou "Normality of Distance" ?) J'essaie de trouver une raison à ma forte déception qui s'est quelque peu atténuée au fil des écoutes en prenant les morceaux à rebrousse-poil !!!